La numérologie est un outil porteur d’évolution et de ressources positives. Elle traduit notre lien à quelque chose de plus grand que nous et nous guide dans tous les domaines de notre vie à travers la vibration que portent les nombres.

Les nombres nous proposent de mieux comprendre nos besoins et nos fonctionnements afin d’être en phase avec le mouvement de notre âme et de son évolution.

Cette science des nombres a été mise en place par Pythagore, qui a traduit la Vie par la vibration des nombres. Au fil des siècles, elle a évolué et s’est modernisée.

Je pratique une numérologie intuitive qui ouvre des espaces de reconnexion avec notre âme et qui agit pour plus d’épanouissement, de bonheur et de joie, La Numérologie de La Métamorphose, crée par Delphine Ragon.

Elle nous permet de comprendre notre parcours de vie, de légitimer nos choix, tous nos choix de réparer, guérir ou réajuster nos fonctionnements, notre chemin, pour nous aligner à notre mission, notre quète et notre défi dans cette Vie.

C’est un parcours thérapeutique et spirituel qui nous libère des blessures, en explorant le sens de notre Vie.

La méthode de guérison intuitive est une méthode de libération des mémoires cellulaires pour se reconnecter à son intuition et retrouver son propre pouvoir d'auto-guérison.

Elle est celle qui en tout enseignement fait appel à cette force sui generis, de l’intelligence vers la vérité.

Elle aide à lâcher les conditionnements qui nous maintiennent dans la souffrance. Les résultats sont stupéfiants !

La méthode de la Guérison Intuitive est simple et efficace.

Et l’intuition c’est ?

On entend en général par intuition un acte de l'intelligence humaine, le plus naturel, le plus spontané de tous, celui par lequel l'esprit saisit une réalité, constate un phénomène, voit en quelque sorte d'un coup d'œil une chose qui existe en lui ou hors de lui.

L’intuition c’est l’intelligence à l’état pur, c’est ce que nous sommes tous en dehors de toute activité mentale conditionnée. Puisque c’est ce que nous sommes, s’y connecter n’est en fait rien d’autre qu’une « idée », c’est le mouvement même de la vie.

Choisir le même type de café tous les jours parce que vous êtes satisfait de son goût en est un bon exemple.

Les décisions qui impliquent des émotions sont souvent soumises à une bonne dose d'intuition et jouent souvent un rôle majeur dans les relations personnelles.

Contrairement à la raison, l'intuition est vive en soi et nous impose d'elle-même une conclusion sans que nous ayons pris conscience des étapes qui y ont mené.

C’est l'Énergie d’Amour inconditionnelle qui est en nous, autour de nous et qui sait tout. Elle nous guide, nous accompagne, et vit l’expérience, la matérialité à travers nous, à travers de multiples humains en même temps.

Vous pouvez lui donner le nom que vous souhaitez : Dieu, La Source, La Lumière Pure…..Moi je l’appelle la Présence, le Mouvement de Vie, et lorsque nous sommes ancrés, centrés dans notre corps, nous la sentons, nous l’entendons, car elle nous donne les informations dont nous avons besoin si nous la laissons nous guider, si nous lui faisons confiance.

Elle sait, et nous met sur notre route ce dont nous avons besoin, pas forcément ce que l’on souhaite…..

La ressentir nous met dans un état de Grâce, de paix immense !

« Ce n’est pas une âme, ce n’est pas un corps que l’on dresse, c’est un homme. » Montaigne

Holistique vient du grec, holos, qui signifie la totalité, l’entier. L’approche holistique consiste à prendre en compte la personne dans sa globalité plutôt que de la considérer de manière morcelée.

Par exemple, une vision holistique de l’être humain tient compte de ses dimensions physique, mentale, émotionnelle, familiale, sociale, culturelle, spirituelle.

L’approche holiste, en sciences humaines, s’intéresse aux motivations et aux pratiques sociales des individus pris de manière collective au sein de la société. Elle considère que les faits sociaux doivent être expliqués en relation avec le groupe ou la société.

Dans le cadre d’une approche de bien-être, elle invite le praticien à tenir compte, dans son accompagnement, de tous les aspects de la vie de son client.

Dans une approche holistique, le tout est supérieur à la somme des parties qui la composent. Comme tout ensemble naturel, l’être humain répond à ce principe.

Pour l’appréhender et le comprendre, nous devons le considérer comme un ensemble de dimensions autonomes, une totalité équilibrée dont chaque partie agit au plus grand bonheur du tout.

Cependant, une partie défaillante peut également compromettre le corps, l’âme, l’esprit.

Dans ce ternaire, le corps correspond aux éléments physiques et matériels, l’âme aux éléments psychiques et subtils, l’esprit à l’élément spirituel, immatériel et lumineux.

Parce que le corps a besoin de 21 jours à un mois pour intégrer ce qu’il a reçu pendant le soin, car La libération de la blessure dans la mémoire cellulaire c’est simplement laisser basculer ce qui est inconscient vers le conscient et seule l’observation et la permission d’être de ce qui est vu est nécessaire, et lâcher une souffrance à laquelle nous nous sommes identifiés a besoin de temps et y revenir autant de fois que nécessaire et ainsi l’énergie peut à nouveau circuler

Le corps humain est constitué de milliards de cellules qui se renouvellent constamment.

Celles-ci enregistrent toutes les informations liées aux ressentis et aux expériences vécues (chocs émotionnels, peurs, etc.) d’un individu.

Elles sont surtout composées de conditionnements et de croyances L’être humain est en mesure d’établir une connexion avec ses cellules grâce à la mémoire cellulaire. Inscrites dans les inconscients, les données ainsi stockées gardent les traumatismes d’enfance et les émotions négatives.

Ce qui déclenche parfois des difficultés émotionnelles et comportementales.

Bien plus sophistiquée qu’un programme d’ordinateur, la mémoire du corps enregistre les émotions et les actions passées dans la vie. La mémoire cellulaire s’exprime de différentes façons, à des périodes clés ou à des âges précis.

Pourtant, certains souvenirs ne se réveilleront jamais tandis que d’autres peuvent avoir des répercussions sur notre vie quotidienne. Parfois, souvent, ce sont les expériences psychologiques douloureuses qui provoquent le réveil de ce mal-être.

OUI, car Tout comme la psyché, le corps humain dispose d'une forme de mémoire qui lui est propre.

Chaque expérience vécue positive et négative,se grave dans cette mémoire du corps, de la vie intra utérine à l'âge adulte et bien avant, des vies anterieures et des ascendants.

Cette fameuse mémoire a une influence non négligeable sur notre corps au quotidien.

Nous parlons ici de la libération des mémoires négatives : blessures, croyances limitantes, et tout ce qui est issu des peurs.

C’est l’ensemble des conditionnements reçus depuis l’enfance et intra utérin, d'incarnations, auxquels nous nous identifions comme étant “MOI”, La Personnalité Protectrice Limitante (PPL) et qui devient réelle à partir de l’instant où nous la croyons comme étant qui nous sommes.

C’est: notre éducation parentale, scolaire, familiale, tout ce qui forge notre personnalité et qui à été intégré dans notre inconscient comme “c’est ce que je suis”, mais aussi nos blessures vécues ou ramener par l'incarnation.

Ce n’est pour autant pas ce que nous sommes réellement, mais quelque chose de fabriqué par une obligation sociétale, une conformité à un collectif, à une famille, une descendence….ect.

D’abord, une croyance tout court est une pensée qu’on va considérer comme vraie.

Elle se caractérise par le fait qu'elle existe indépendamment des faits qui viendraient la corroborer ou la démentir.

On pourrait résumer les choses en disant qu’une croyance (limitante ou pas) est une pensée têtue.

Une croyance peut être :

- liée à soi (“Je suis hyper fort-e” ou “Je suis nul-le”)

- liée aux autres (“Telle personne ne m’aime pas”)

- une perception de la vie en général (“Il faut travailler pour réussir”, “La réussite c’est d’avoir de l’argent”, etc.).

À force de s’ancrer dans nos pensées, cette croyance devient une certitude, consciente ou inconsciente, qui s’est ancrée en nous et qui pousse notre esprit à penser que quelque chose est vrai et réel en en faisant une généralité.

-une perception de la vie en général (“Il faut travailler pour réussir”, “La réussite c’est d’avoir de l’argent”, etc.).

Une croyance limitante est un état d'esprit ou une croyance à votre sujet qui vous freine d'une manière ou d'une autre.

Tout le monde développe des croyances limitantes à un moment ou à un autre, mais apprendre à les identifier peut vous aider à lutter en amont contre ces fausses idées et vous libérer des blocages qu'elle engendre.

Lors d’une expérience difficile, la mémoire va accentuer, amplifier voire même de complètement exagérer les ressentis et les émotions du présent.

C’est à cause de ce fonctionnement que certains se mettent en colère pour une bêtise, que d’autres dépriment pour un simple incident et que d'autres se retrouvent dans des états de terreur et de panique.

Lorsque nous vivons une émotion dans le présent, celle-ci est toujours en résonance avec une émotion passée. C’est toujours la réactivation d’une blessure originelle.

L’expérience peut être totalement différente, mais l’émotion ressentie sera malgré tout la même. En fait, lorsqu’une blessure naît, elle laisse une trace, un souvenir indélébile qui va se cristalliser dans le corps et dans les cellules, et chaque cellule a une conscience, donc imprime la mémoire de la blessure qui sera transmise, de manière inconsciente.

Les années et les vies passent, mais le souvenir, lui, bien que inconscient, reste mémorisé.

Du coup, à chaque fois que la moindre similarité sera rencontrée dans l’expérience, la mémoires se réactivera au niveau cellulaire et d’une manière automatique, un schéma de protection, de défense et/ou de fuite va se mettre en marche déclenchant toutes sortes de comportements et d’émotions.

Le mental ne s'arrête jamais, seulement il se calme lorsqu’il est vu, lorsque l’on devient conscient que l’histoire qu’il raconte est fausse.

Le mental ne peut se mettre à raconter des histoires qu’à partir du passé, du vécu et à partir de là, il ressasse comme un vélo dans la tête, en agrémentant autant qu’il veut, et en inventant autre chose, ce qui créer d’autres souffrances, d’autres branches liées à la racine, et il peut extrapoler dans le futur en se basant sur le passé indéfiniment.

Là où il n’a aucun pouvoir, qu’on lui laisse d’ailleurs, c’est dans le présent.

Donc, le travail sur les mémoires cellulaires, sur les blessures, c’est d’apprendre, de comprendre que nos souffrances sont générées par le mental, pour celles que vous avez vécue, celles ramenées de vie passées ou transmises transgénérationellement.

Le mental se base sur une histoire qui dans le présent n’existe pas, dans une situation différentes et dont il se sert pour réactiver la blessure, parce qu’il croit qu’il est toujours dans la même histoire. C'est accepter aussi d'avoir vécu cette expérience, oui cela peut paraître difficile, incroyable ou trop détaché, mais c'est pourtant comme cela que l'on y arrive. Il ne s'agit pas de nier la souffrance de l'expérience qui a été vécue, elle l'a été, mais bien de voir qu'a l'instant T elle n'existe pas.

Le mental n’a pas de conscience du temps, il reste au moment où vous avez été blessé. Il doit juste voir que la situation ne sera plus souffrante pour s'arrêter.

Non, alors que ce qui est inconscient remonte à la conscience, la douleur s’estompe nettement et de plus en plus, mais vous n’oubliez pas ce que vous avez vécu, du moins si vous vous en souvenez, ce n’est seulement plus douloureux ou bloquant. L'énergie circule à nouveau. Tout comme des images, des scènes que vous n’aviez pas pourraient remonter. Mais ce n’est pas nécessaire pour libérer la mémoire.